L'ostéopathie structurelle, héritière du pôle rebouteux, possède sa logique et sa physique : on étire ce qui est raccourci, détend ce qui est tendu, draine ce qui est trop plein, voire on replace ce qui est 'déplacé'.
Les indications comme les dangers sont alors clairs. Il n'en va pas de même avec l'aspect énergétique de l'ostéopathie, héritière du magnétisme, où les mains ne bougent pas, et où seule la pensée semble agir.
Comment expliquer une telle expérience ? Ne sachant ni ce qui agit, ni comment cela agit, comment connaître les indications et les dangers ? Avec le Virtuel, tel que le décrit la physique quantique, l'auteur discute ici ce que peuvent être les racines physiques de ces formes de pratique.
L'auteur mettra de côté l'aspect structurel de l'ostéopathie, ce qui est, forcément, réducteur, et ne peut que fausser le débat. Mais il faut découper pour analyser.
L'heure des recoupements peut venir ensuite. . .
Voici donc quelques réflexions sur la physique de l'ostéopathie contemporaine, en particulier dans sa forme dite 'd'écoute tissulaire'. . .